Temps de lecture - 22 minutes
Mis à jour le 20 mai 2025
Les treize cafés virtuels sur les bonnes pratiques en développement durable, animés par Événements Attractions Québec, ont pris fin! Ce dernier article de blogue revient sur les pratiques inspirantes de plusieurs organisations en lien avec quatre thématiques :
La gouvernance participative est une méthode de gestion caractérisée par l’engagement de l’organisation à impliquer le plus possible les parties prenantes concernées dans le processus décisionnel.
Créé par et pour les citoyen(ne)s, le Festival de la chanson de Tadoussac a à cœur de considérer les intérêts de tous les groupes touchés par l’événement. Myriam Sénéchal, directrice générale du festival, a présenté l’écosystème des parties prenantes et leur implication respective.
Photo : © Dá Média_FMBM2024_HiRes800dpi-6
Charles-André Ouimette, directeur des opérations du Festival Musique du Bout du Monde, a fait part des bonnes pratiques de l’organisation pour favoriser la gouvernance participative avec chacune des parties prenantes suivantes :
Photo : © Zoo Écomuseum
Le Zoo Ecomuseum est un organisme à but non lucratif dévoué à la protection et à la conservation de la faune québécoise. Nathalie Jreidini, directrice de l’éducation, a détaillé les programmes et les projets déployés pour mener à bien leur mission. Voici quelques-unes des nombreuses actions mises en place :
Premier économusée autochtone au Canada, l’Économusée de Maskisin-Atikuss aspire à préserver le savoir-faire autochtone en soutenant les artisanes de la communauté et en offrant une vitrine aux produits des Premiers Peuples. Selon Josée Shushei Leblanc, fondatrice et présidente-directrice générale, un économusée est un outil de réconciliation qui met en valeur une identité en partant des produits caractéristiques d’une culture.
Photo : © Économusée de Maskisin-Atikuss
Voici comment l’atelier-boutique d’Atikuss garantit la mise en valeur identitaire et culturelle de la communauté autochtone :
Josée Shushei Leblanc a également insisté sur la distinction entre l’appréciation culturelle et l’appropriation culturelle. Cette dernière désigne « l’utilisation, par une personne ou un groupe de personnes, d’éléments culturels appartenant à une autre culture, généralement minoritaire, d’une manière jugée offensante, abusive ou inappropriée », alors que l’appréciation culturelle démontre une volonté de « célébrer et valoriser les éléments culturels d’une manière respectueuse et authentique en prenant le temps de comprendre leur signification »[1].
Délices d’automne vise à promouvoir la gastronomie locale et à offrir une vitrine privilégiée aux producteur(-trice)s de la région de Trois-Rivières, tout en adoptant des principes d’écoresponsabilité. Son engagement poussé lui a valu les certifications et les reconnaissances suivantes :
De plus, la responsable des événements, Yannick Aubuchon, a présenté leurs multiples engagements écoresponsables, tels :
Photo : © Delicesautomne_CyrilleFarré_3
La Station Mont Tremblant est la première entreprise québécoise à avoir atteint, en 2023, le niveau 4 du Programme Écoresponsable du Conseil des Industries Durables. Cette reconnaissance est le fruit d’une démarche en plusieurs étapes :
Restez à l’affût pour le retour des cafés virtuels à l’automne!
[1] Tourisme Autochtone Québec (TAQ). 2023. Aashukan : Un guide de sensibilisation aux réalités autochtones en contexte touristique. Wendake, TAQ.
Respect de la vie privée
En acceptant de nous partager certaines informations de navigation, vous nous aidez à nous améliorer et à vous offrir une expérience de navigation optimale. Merci de votre appui! Politique de confidentialité
Activez les catégories que vous souhaitez partager, merci de votre aide! Politique de confidentialité